« Ephémères », 2004, 70×70 cm. (Photographie, papier satiné, acétate).

Les paupières papillonnent des milliers de fois par jour. Dans ce réflexe imperceptible, l’œil semble fuir pour ne pas se noyer dans le monde visible. Les paupières se referment sur soi, dans une forme de méditation éphémère, comme pour retrouver sa mesure intérieure, son « la ».